Questions - Réponses
Dès le printemps 2019, d’importants travaux préparatoires liés aux réseaux débuteront avenue Charcot et avenue Guynemer.
Les travaux de la place en elle-même commencent dès septembre 2019.
En raison des problématiques liées à la période de crise sanitaire, la livraison du Petit-Enfer est repoussée au mois de décembre.
Non. L’horloge reste en place. C’est un emblème et un point de rendez-vous ancré dans la vie de la ville et des lutins.
Face à la mer, cette place offrira un cadre et une situation unique sur la côte de Nacre.
L’offre commerciale adaptée à une station balnéaire permettra une forte dynamique de l’activité de la place notamment par une amplitude d’ouverture des restaurants plus importantes.
Les futurs bâtiments répondront aux nouvelles normes d’accessibilité et seront une vraie vitrine pour les commerces.
Les nouveaux locaux commerciaux disposeront d’un loyer au prix du marché.
La vétusté des bâtiments ne permet plus de répondre aux enjeux actuels d’ergonomie, de fonctionnalité, voire aux enjeux sanitaires. Les loyers très bas des cellules commerciales prenaient en compte cet état de fait.
Le 27 avril 2018, suite au concours d’architectes lancé le 6 novembre 2017, le cabinet Atelier Nord Sud a été désigné lauréat du concours.
Jean-Marc Viste, de l’Atelier Nord Sud, n’est autre que l’architecte qui construit actuellement le club de voile.
Le stationnement sur le front de mer ne sera pas impacté par ce projet.
Oui. L’accessibilité a toujours été une priorité pour la ville de Luc sur Mer. La place du Petit Enfer sera donc totalement accessible pour tous en répondant aux normes d’accessibilité.
La hauteur des futurs bâtiments sera identique à celle des bâtiments actuels.
Le Petit-Enfer des années 1930 a été réalisé avec du béton. À cette époque, le sable utilisé était du sable de mer. Le sel qu’il contient a rongé les fers à béton. Il y a 10 ans, un rapport d’expert a relevé la fragilité de l’édifice. De là, sous la précédente mandature, est parti l’objectif de rénovation. Par ailleurs, la vétusté des bâtiments ne permet plus de répondre aux enjeux actuels d’ergonomie, de fonctionnalité, voire aux enjeux sanitaires.
Ce projet répond aux normes actuelles BBC (Bâtiment basse consommation)
Non. L’objectif est au contraire de rendre ce lieu plus dynamique et attractif ! Les animations continueront d’exister.
